Monsieur Cohen, je vous salue bien bas
Oui, oui, oui, yes, da, et d'autre mots aussi futilement agréables à prononcer en situation d'ivresse extreme ou d'impetueuse colère. Car "oui", Monsieur Cohen, je vous salue bien bas. Non pas que vous ayez fait quelque chose de blessant à mon encontre ou que la force soit avec vous, non, c'est juste que je trouvais le titre de l'article fort dépourvu lorsque la bise fut venue et que j'avais envie de ne pas faire figurer de références à la commémoration annuelle des festivités du 23 Novembre 1984. Car souvenez-vous, mesdames, messieurs, en ce temps la vie était plus belle et pas seulement à 20h20 tous les soirs de la semaine sur France3. Et puis cette date si facile à retenir : 23/11, 23/11, 23/11, la taille de mon sexe au repos (23) et celle de Monsieur Cohen en érection (11). Trève d'allusions au-dessus de la ceinture (quoi ? la votre ne dépasse pas la hauteur de la ceinture ?), parlons plutôt de l'objet de cet article si parfait dans le style que le SydneyTimes lui a décerné un Koala d'Or avant même qu'il ne soit publié. Oui, Monsieur Cohen, je me permet de vous vouvouyer car vous voilà devenu un fier jeune homme de 21 printemps, car si c'est l'automne dans votre vieille Europe, ici c'est le "printemps austral" pour employer cette expression à la con. 21 ans c'est un cap, que dis-je, une péninsule, voire une presqu'ile a Rene Vestri... Alors mon bon monsieur je vous salue d'en bas et je me joins à la Mutuelle Orientale des Nains Indiens Qui Ululent Enormement, que l'on surnome aussi la MONIQUE, pour vous souhaiter un bon, un très bon, voir un excellent anniversaire et bien plus si affinités, l'addition, 100 balles, un café. Sur ce, c'est tout pour aujourd'hui et c'est pas tant si pire que si c'était aussi mieux... alors en deux mots, voire un peu plus : BON ANNIVERSAIRE "KIKOU BILOU" comme te surnomme les aborigenes que j'ai rencontre et qui te passent le bonjour.